La petite dernière de Susie Morgenstern

La petite dernière de Susie Morgenstern chez Nathan, 2017

Résumé de l’éditeur :

Les PETITES dernières veulent aussi faire de GRANDES choses !

La petite Susie grandit dans les années 50, à Newark aux États-Unis, dans une famille juive de trois enfants. De trois filles plus exactement : Sandra, Effie et elle, Susie, la « petite dernière ». Et c’est son grand drame d’être la troisième. Seules ses aînées se voient confier de véritables missions par leur mère : préparer les légumes, mettre la table… Elle, elle n’est même pas digne d’éplucher les patates, elle doit se contenter de faire ses devoirs ! Et ses sœurs prennent toute la place : Sandra est « la plus jolie », Effie « la plus drôle ».Que lui reste-t-il de spécial ?
Mon avis :
Ne vous fiez pas au résumé. Tout n’est pas négatif à être la petite dernière. La semaine dernière je vous parlais d’en savoir plus sur Susie Morgenstern. C’est à cause de ce livre. En effet, Susie nous parle de son enfance au New Jersey autour de parents aimants et de ses deux sœurs ainées. Très tôt elle dévorait les livres de bibliothèque. Comme sa sœur Sandra  était la séductrice de la maisonnée et Effie le bout-en-train. Il ne lui restait plus qu’être studieuse à l’école. Elle ne trouvait rien à raconter qui puisse la distinguer des deux autres en dehors de ses résultats scolaires. Malgré cela, elle s’est beaucoup amusée pendant son enfance.
Elle était juive mais elle n’a quasiment pas souffert de l’antisémitisme. La seule fois où un garçon du voisinage l’a traité de « sale juive », elle demande à sa mère si elle était sale. cet épisode convainquit ses parents de l’inscrire à l’école juive. Elle sait ce qu’il s’est passé et des parents sont même venus habiter chez elle après être revenu de camp. Mais pour elle c’est loin et elle ne demande qu’à s’amuser, et beaucoup lire.
Elle aime beaucoup l’école mais est tout de même contente de rater l’école quand la neige bloque les route. ça lui permet de passer la journée à dévaler les pentes en luge.
Nous nous prenons à aimer Susie et sa famille. Une mère instruite et pour l’époque c’était rare pour le noter. Un père pas bavard mais aimant. Des sœurs qui valent le coup d’être connues.
Je vous recommande donc cette lecture qui vous permettra de connaitre mieux l’enfance de Susie Morgenstern. Pour sa vie d’adulte c’est d’autre livres.
J’ai dors et déjà pris note de les lire.
Bonne lecture !

Mon écrivain préféré : Susie Morgenstern par Sophie Chérer

Mon écrivain préféré : Susie Morgenstern par Sophie Chérer, l’école des loisirs

Résumé par Ricochet :

Une monographie sur le vie et l’œuvre de l’écrivain Susie Morgenstern.

 

Mon avis :

Pour une fois je vous parle d’un livre gratuit. je vous explique. L’École des loisirs a fait pour ses auteur(e)s emblématiques des petits fascicules plus grand qu’une simple description d’un auteur dans un livre mais pas plus long qu’un livre biographique.

Je suis en train de lire La petite dernière  de cette auteure. Ce livre est un roman autobiographique qui raconte l’enfance de Susie Morgenstern. j’ai voulu en savoir plus sur elle. Et notamment comment elle a pu se retrouver en France, célèbre écrivain (pour moi français) et je découvre qu’elle est américaine (des États-Unis). Dans le livre que je lis comme précisé plus avant elle parle de son enfance dans le New jersey. Et maintenant elle habite Nice et écrit des livres en français. ça fait un sacré changement de vie. Précisons que petite elle connaissait que les États que constituent son pays. Qu’elle ne savait pas où était vraiment le Mexique. Pour elle La Pologne était un pays exotique d’où venait une partie de sa famille. Beaucoup avait fuit parce que juif. Et ceux qui n’ont pas fuit et sont revenus ont été marqué à jamais. Bref tout ça ne me disait pas comment elle se retrouve à Nice. Et je me suis mis à lire le petit fascicule de l’école des loisirs.

C’est un très bon fascicule. On voit que Sophie Chérer qui fait le portrait de Susie est une amie. Elle nous fait apprécié l’auteure. Chaque chapitre commence par une lettre, par exemple A comme amis.

 

Pour avoir ce fascicule il suffit de demander à L’école des loisirs. si vous êtes en France j’ai trouvé leur mail :  edl@ecoledesloisirs.com

Ils sont très sympa. En éditeur jeunesse si vous demandez à L’école des loisirs ou Didier Jeunesse. Vous pouvez être sûre qu’ils seront sympas.

j’ai aussi trouvé un lien vous permettant de télécharger le fascicule : https://www.ecoledesloisirs.fr/sites/default/files/auteurs_pdf/susie.pdf

 

Bonne lecture !

Le bonheur à l’école de Dominique Deconinck

Le bonheur à l’école : journal d’une instit de Dominique Deconinck chez L’Iconoclaste, 2013

Résumé de l’éditeur :

Une maîtresse d’école primaire raconte son métier et dit le bonheur d’enseigner

Dominique Deconinck nous raconte ses journées avec tendresse et humour, sa vie « à hauteur d’enfants », si particulière, et nous plonge, comme si on y était, du côté de l’école : les jeux, les discussions dans les rangs, l’élève qui décolle d’un coup, ou celui qui décroche et qu’il faut rattraper. Loin des essais ou témoignages alarmistes sur l’enseignement, ce livre prouve que le bonheur à l’école existe, l’entraide entre enseignants, le relais harmonieux avec les parents. Un livre qui fait du bien : une bouffée d’enfance d’aujourd’hui.

Mon avis :

L’auteure était prédestinée à travailler à l’école. C’est toujours un lieu qu’elle a toujours aimé. Elle a eu plaisir à apprendre. Et par la suite elle prend plaisir à enseigner. Elle aime son métier et c’est indéniable. Mais des fois j’ai eu l’impression qu’elle se vante un peu trop. Mais bon ces petits rien de l’école sont intéressants. Elle prend plaisir à tirer vers le haut les élèves qui ont des difficultés sans oublier ceux qui n’ont pas de souci de compréhension. Elle sait que le tout par cœur n’a aucun intérêt. Elle prend plaisir à concevoir les cours et a à cœur de leur transmettre. Elle est plus à l’aise avec les primaires que avec les maternelles. Elle a d’ailleurs dû remplacer une collègue qui était malade. Et on voit les débuts de la journée qui sont un peu difficiles mais après elle s’en sort. On voit aussi que l’atsem est une grand aide.

Ce livre est sympa parce que pour une fois on ne s’en prends pas à l’école mais on voit le bonheur d’enseigner. On voit aussi que tous les parents ne sont pas des affreux ignorants. Enfin tout ça pour dire que ça fait du bien de dire que le bonheur est à l’école.

 

Bonne lecture !

 

 

Les ratés les plus profitables de Jacques Braibant avec Alain Leclercq

Les ratés les plus profitables de Jacques Braibant avec Alain Leclercq, éd. La boite de Pandore

En plus d’y voir les informations habituelles, il y a aussi les principales inventions qui peuplent le livre.

Résumé du livre :

Si beaucoup d’inventions ou de découvertes réalisées par l’Homme aboutirent, certaines sont dues à des tentatives échouées, des erreurs ou simplement le fruit de la sérendipité, et sont pourtant devenues extraordinaires ou utiles au quotidien !

Découvrez, entre autres,…
– l’histoire de cette tarte cuisinée par les sœurs Tatin, qui s’est renversée au moment d’être servie et qui donna naissance à la célèbre tarte du nom des deux dames !
– le chocolat envoyé aux enfants en Italie pour lutter contre la malnutrition accablant le pays qui, après avoir fondu, fut mis en pot et devint le Nutella, la pâte à tartiner la plus mangée à l’heure actuelle !
– l’histoire du Coca-Cola, ce médicament raté qui est devenu une des boissons les plus consommées au monde !
– ce petit bout de papier recouvert d’une colle ratée et inutile… Jusqu’à ce que quelqu’un se rende compte que le fait qu’il puisse être repositionné est un atout et qu’il le baptise « post-it » !
– la bière, résultat d’une fermentation de grains d’orge et de houblon dans une cuve d’eau, dans laquelle ils étaient tombés par simple mégarde !

Mon avis :

Ce livre est très drôle. on y apprend un mot : la sérendipité.

Alors en plus d’apprendre ce mot on y apprends plein de chose. Notamment que le voyage de masse a été inventé par les nazis. C’était un bon moyen de contrôler les citoyens.

Comme le dit la couverture, on apprends que les corn-flakes vient des mormons si je ne me trompe pas, le coca-cola et le vin à base de coca avant. Le tampon qui servait aux infirmières alors que c’était des bout de ouates roulés, les pneus Goodyear. Le monsieur Goodyear n’a d’ailleurs pas profité de son invention. On parle même de la découverte des Amérique et tout ce qui s’ensuit. Le post-it qui est en fait l’invention d’une colle qui ne colle pas.

Bref, si vous voulez apprendre des choses sans vous prendre la tête. Je vous recommande ce livre.

Bonne lecture !