Agatha Raisin enquête, t.4 : Randonnée mortelle de M.C. Beaton

Agatha raisin enquête, t.4 : Randonnée mortelle de M.C. Beaton aux éditions Albin Michel, 2016

Résumé de l’éditeur :

Après un séjour de six mois à Londres, Agatha retrouve enfin ses chères Cotswolds – et le non moins cher James Lacey. Même si le retour au bercail de son entreprenante voisine ne donne pas l’impression d’enthousiasmer particulièrement le célibataire le plus convoité de Carsely.

Heureusement, Agatha est très vite happée par son sport favori : la résolution d’affaires criminelles. Comme le meurtre d’une certaine Jessica, qui militait pour le droit de passage de son club de randonneurs dans les propriétés privées des environs.

Les pistes ne manquent pas : plusieurs membres du club et quelques propriétaires terriens avaient peut-être de bonnes raisons de souhaiter sa disparition. Mais la piste d’un tueur se perd aussi facilement que la tête ou… la vie !

 

Mon avis :

J’avais bien aimé les 3 premiers tomes donc je me suis dit que j’allais aimer celui-ci. Mais, contre toute attente, j’ai eu du mal à le lire. Je pense juste que ce n’était pas le bon moment. Je l’ai tout de même fini, et il m’a plu.
Nous retrouvons notre Agatha toute énervée parce que Roy a réussi à la faire embaucher dans l’agence de publicité qu’elle a revendu. Tout en excellant dans son métier, elle s’ennuie. Son cottage lui manque, ses voisins, surtout le beau James Lacey. Elle est donc toute heureuse quand son contrat prend fin et qu’elle peut retourner dans « ses chères Cotswolds ». Au même moment une opiniâtre et pas très sympathique randonneuse se fait assassiner à quelques kilomètres de là. Agatha est engagée par l’une des participantes du groupe de randonnée pour enquêter. Nous allons avoir plusieurs personnages hauts en couleur : outre les randonneurs, nous avons un lord et son redoutable majordome. Agatha, pour les besoins de l’enquête, va se trouver une couverture en s’installant dans la ville des randonneurs et en se faisant passer pour une femme mariée. Son co-enquêteur n’est autre que James Lacey. Lui n’arrive à rien avec son livre, et se dit que c’est bien exaltant d’investiguer.

Si vous aimez le personnage d’Agatha Raisin, ce nouvel opus devrait vous plaire. Elle est mordante mais voudrait bien se faire aimer de James. C’est pour ça qu’elle se fait tout de suite des films quand ils s’installent ensemble dans l’appartement. Mais tout ne se passera comme elle l’a envisagé. Et après ce premier crime, un autre suivra.

Agatha Raison aura fort à faire pour essayer de conquérir son James et dénouer le meurtre. Mais si vous la connaissez, vous savez qu’elle y arrivera, en tout cas pour la partie meurtre. Je vous laisse lire ce livre pour voir si elle va enfin réussir à mettre le grappin sur son charmant voisin.

Bonne lecture !

Geronimo Stilton, t.5 : Un grand cappuccino pour Geronimo

Geronimo Stilton,t.5 : Un grand Cappuccino pour Geronimo de Geronimo Stilton

Résumé de l’éditeur :

Un cappuccino ? Vous vous demandez ce qu’un cappuccino vient faire dans cette histoire ? Figurez-vous que c’est à cause d’un simple café que tout a commencé… Ma folle passion pour Provolinda, ma visite chez une mystérieuse voyante, et surtout cette improbable expédition dans la vallée des Fromages volants…

Mon avis :

Oui, je sais. Geronimo Stilton est une souris. Comment peut-il être l’auteur ? C’est le grand mystère de cette série. Si un jour vous allez à une séance de dédicaces d’un Geronimo, vous trouverez une souris qui signe votre livre.

Bref, j’ai beaucoup aimé ce livre. J’avais besoin de me changer les idées et Geronimo m’a beaucoup fait rire.

Geronimo tombe amoureux d’une jolie souris. Il lui envoie des roses, des chocolats au fromage.

Sans nouvelle de la belle, il déprime. Sa famille et ses amis décident d’organiser une expédition dans la vallée des Fromages volants pour lui changer les idées. Au début il ne veut pas et il se morfond chez lui, jusqu’à ce que sa sœur Téa décide de l’emmener chez une étrange voyante. D’abord sceptique, il y va à reculons, mais elle lui dit des choses tellement vraies qu’il décide de participer à cette expédition. Il croit qu’une découverte extraordinaire pourrait faire tomber amoureuse la jolie sourie de son cœur.

Bien sûr, tout ne se passe pas comme on le veut.

D’une part je ne comprends pas pourquoi il emmène souvent le cousin Traquenard qui ne fait que des bêtises.  Le neveu Benjamin est débrouillard et intelligent. Téa est aussi intelligente et très volontaire. Mais Traquenard, c’est une autre paire de manches.  Je ne vous dirai pas ce qu’il fait comme bêtises.

En tout cas, la fin est amusante.

Geronimo Stilton est une série traduit de l’italien. Si vous lisez l’italien vous pouvez aussi le lire en langue original. C’est idéal pour vos enfants qui commencent à lire des romans, c’est que j’appellerai un petit roman, pour un enfant qui a bon niveau de lecture niveau fin CP ou CE1. Mais bien sûr s’il aime les Geronimo il pourra continuer à les lire après. De plus la série est très très longue, au moins 75 tomes pour la série originale. La série est augmenté avec une autre qui met en scène la sœur Téa et ses propres aventures, et vous avez aussi des hors-série. Il y en a qui se passent à la Préhistoire et d’autre qui sont une adaptation de classiques… Je dois dire que je préfère la série classique. Tout n’est pas linéaire. Il y en a qui auront des préférences par rapport à d’autres. Mais les Geronimo devrait plaire à vos enfants et à vous, si vous avez gardé votre âme d’enfant, et que vous aimez lire des romans faciles.

Bonne lecture  !

PS : Attention spoiler : la seule chose qui m’a fait de la peine. C’est que Geronimo à la fin de l’aventure n’éprouve plus de sentiments pour la souris. Même si elle n’en vaut vraiment pas la peine. J’ai été blessé par le fait que des sentiments puissent s’envoler comme ça. Mais bon ça touche sûrement une chose personnelle et ça vous dérangera sûrement moins.

Le chat qui mangeait de la laine de Lilian Jackson Braun

Le chat qui mangeait de la laine de Lilian Jackson Braun aux éditions 10/18.

Résumé trouvé sur booknode :

Nous retrouvons ici notre vieille connaissance Jim Qwilleran, chroniqueur au Daily Fluxion et son ineffable compagnon, le chat siamois Kao K’o Kung, dit Koko. Qwilleran se voit assigner le poste de rédacteur en chef d’un nouveau magazine de décoration, Le Gai Logis. Le premier numéro est un succès. Malheureusement, la maison qu’il avait choisie pour illustrer le journal est cambriolée. Une inestimable collection de jades disparaît et l’épouse du propriétaire meurt d’une crise cardiaque. Avec le second numéro, Qwille-ran apprend à ses dépens la double signification du mot « professionnelle » et il commence à se demander si quelqu’un n’essaie pas de couler le magazine. Cependant, lorsque le décorateur David Lyne est assassiné, il décide de prendre l’affaire en main. Que signifie aussi la curieuse lubie de Koko de manger de la laine ? C’est pourtant grâce à cette manie que Qwilleran découvrira le fin mot de l’histoire et démasquera les coupables.

Mon avis :

Ce deuxième tome des aventures de Jim Qwilleran me paraît essentiel. Il est regrettable que l’éditeur ne soit pas de mon avis vu qu’il n’est plus disponible à part auprès de soldeurs. En effet, ce tome est la rencontre du duo Jim et Koko avec la douce Yom-Yom. Elle ne s’appelle pas comme ça quand on la découvre et on ne sait pas même pas que c’est elle avant la fin de ce tome.

Dans celui-ci, Jim se voit confier la rédaction d’un magasine de décoration intérieure. Il va sans dire qu’il n’y connaît toujours rien. Le cher Persée, son chef, a le don de le mettre où on ne l’attends pas. Avec cette « promotion », on lui fait miroiter un salaire plus important, ce qui n’est pas pour déplaire à Jim, toujours en quête d’argent depuis qu’il est au Daily Fluxion. Il s’y plonge corps et âme. Mais il n’a décidément pas de chance vu que les trois premières parutions s’accompagnent d’incidents pour le moins fâcheux. Le premier sujet, qui consiste à photographier la maison d’un riche collectionneur de jade, se solde par le vol de la collection le lendemain et la mort de la femme du propriétaire.

Note : vous remarquerez que quand je parle de Yom-Yom ici je met un tiret alors qu’il disparaît dans les tomes suivants.

Nous sommes toujours contents de retrouver Jim toujours en quête d’un logement après que son propriétaire précédent a trouvé la mort. Il loge dans un appartement de standing en l’absence du propriétaire actuel, qui est parti faire des affaires ailleurs.

Nous prenons plaisir à découvrir avec Jim les joies de la décoration d’intérieur tout en enquêtant sur le vol des objets en jade. Vous retrouverez aussi le photographe du Daily Fluxion père de six enfants et bon buveur ainsi qu’Arch Riker même si dans ce tome il n’est pas très présent.

Bonne lecture !

Le chat qui lisait à l’envers de Lilian Jackson Braun

Le chat qui lisait à l’envers de Lilian Jackson Braun aux éditions 10/18

Résumé de l’éditeur :

Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d’art est une véritable gageure étant donné qu’il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d’un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d’un fin gourmet, et l’homme lui-même est brillant et satirique. Il possède un chat siamois aristocratique, Kao K’o Kung – Koko pour Qwilleran – qui apprécie les vieux maîtres et sait lire à l’envers les manchettes des journaux. Dans le monde apparemment paisible des Beaux-Arts, trois morts brutales se produisent et c’est grâce au flair de Koko que Qwilleran découvrira la vérité.

Mon avis :

Je vous ai déjà chroniqué un des livres de Lilian Jackson Braun mais je voulais vous parler du tout premier de la série. Ce premier livre marque la rencontre de Jim Qwilleran avec le vénérable Kao K’O Kung plus connu sous le nom de Koko.

Cet épisode marque aussi l’entrée de Jim au Daily Fluxion. Il devient chroniqueur artistique alors que de son propre aveu il n’y connaît rien. Là-bas il revoit un ami de longue date Arch Riker qui devient son patron vu que c’est le chef de la rubrique Spectacles. Le chat appartient au critique du journal : George Bonifield Mountclemens III, qui fait des chroniques très acides sur les artistes et les expositions du coin : seul les artistes exposés à la galerie Lambreth trouvent grâce à ses yeux. Mais bientôt le propriétaire de la galerie est assassiné. Jim, qui a toujours aimé enquêter, se met à fureter avec l’aide de Koko. George est parti en voyage laissant Koko à la garde de Jim. Je dois dire sans essayer de vous spoiler que je ne comprends pas comment se fait-il que Koko se retrouve après confié totalement à Jim. Même si on a un début de réponse.

Comme vous pouvez le constater par rapport à mon précédent billet, il n’est ici jamais fait mention de Yom Yom l’adorable chatte vu que Jim ne l’a pas encore rencontré. Il la rencontre dans un autre tome de la série, qui raconte la rencontre du trio Jim, Koko et Yom Yom. Je suis de toute façon en train de relire tous les tomes pour mon plus grand plaisir, et vous ferai peut-être d’autres chroniques.

Partagez donc mon plaisir en les lisant.

Bonne lecture !