Utena de Saitô Chiho et Be-Papas

Utena, le fillette révolutionnaire de Saitô et Be-Papas chez Pika, 2003.

Résumé du livre :

Tenjo Utena devient orpheline à l’age de 7 ans depuis elle vit avec sa tante Yurika. Très populaire dans son école elle est la hantise de ses professeurs qui la considèrent comme une rebelle (elle porte un uniforme de garçon). Chaque année depuis qu’elle a été sauvé de la noyade, Utena reçoit une lettre de son sauveur, cette année la carte annonce qu’ils vont bientôt se revoir. Utena, qui garde un souvenir flou mais intense de cet incident veut plus que tout le rencontrer pour cela elle doit intégrer l’académie Othori…

Mon avis :

Utena perd ses parents très tôt. Lors d’un moment où elle se sent seule et démunie, elle tombe à l’eau. Là elle est secourue par un mystérieux individu qui lui donne aussi une bague. Chaque année Il lui envoie une lettre. Quand elle découvre que la bague qu’elle a correspond à établissement scolaire, elle décide de l’intégrer. Là-bas y règne la communauté de la rose. Et pour connaître son sauveur elle va tout faire pour se faire intégrer.

C’est pas mal. La série est courte en 5 tomes. Malheureusement elle n’est plus dispo chez Pika donc on peut la retrouver en Médiathèque ou chez les soldeurs.

Bonne lecture !

Les foudres de l’amour de Yuu Yoshinaga

Les foudres de l’amour de Yuu Yoshinaga chez Panini manga, 2018

Résumé de l’éditeur :

Pour Nene Koizumi, les histoires d’amour semblent réservées aux autres. Elle mène en effet une vie banale de lycéenne où chaque seconde paraît déjà écrite sur la partition monotone de son existence. Mais sa lassitude vole en éclat le jour où elle rencontre Hajime Sakuraba, un garçon de quatre ans son aîné. Un seul regard et son cœur s’envole… Cependant, Hajime est déjà adulte, tandis que Nene n’est encore qu’une lycéenne. Malgré cela, notre héroïne est bien décidée à tout faire pour se rapprocher de l’élu de son cœur.

Mon avis :

Je suis dans une période manga comme vous pouvez le constater. Alors que dire des foudres de l’amour. C’est Néné qui a le coup de foudre pour un garçon plus âgé Hajimé. Et par un curieux hasard qui fait bien les choses il s’installe à côté de chez elle. Elle lui avoue ses sentiments. Lui ne répond rien à part d’attendre.

Que dire ?

C’est un manga intéressant qui se laisse lire. On attend de voir où évolue sa relation avec Hajimé. Par contre ça me rappelle un autre manga où la jeune fille tombe amoureux de l’ami de son oncle et qui se révèle être son prof. À la fin elle se retrouve avec un beau gosse de son établissement qui était aussi amoureux d’elle. J’ai trouvé que la fin était trop politiquement correct. Donc j’attends de voir avec celui-ci.

On verra.

Bonne lecture !

Le garçon d’à côté de Robico

Le Garçon d’à côté de Robico chez Pika, 2014. Pour l’anime chez Black Box, 2012.

Résumé de l’éditeur :

Une rencontre peut changer une vie !

Shizuku Mizutani, jeune lycéenne, ne s’intéresse qu’à ses résultats scolaires. Un jour, alors qu’elle se rend chez Haru Yoshida, un élève à la réputation de mauvais garçon, pour lui remettre des copies des cours auxquels il n’a pas assisté, celui-ci prend la décision unilatérale que Shizuku et lui seront amis ! Devant la naïveté de Haru, Shizuku se laisse attendrir et lui montre quelques signes de gentillesse à tel point que Haru, touché qu’elle prenne sa défense, lui fait une déclaration d’amour inattendue ! Comment va évoluer la rencontre improbable d’une jeune fille au coeur de pierre avec un drôle de garçon ?

Mon avis :

Pour une fois je détaille aussi la parution de l’anime. Parce qu’une fois n’est pas coutume je n’ai pas lu le manga mais je regarde l’anime sur Netflix.

Et j’aime bien. Mais si vous voulez le lire il est disponible chez Pika.

Je vous présente donc Shizuku qui est une fille sans ami mais pour une raison très précise. Elle n’a pas le temps pour ça. Sa priorité sont les études et seulement les études. Et elle compte être la meilleure.

Un jour sa professeure lui demande de ramener des cours à Haru qui lui a décidé de ne plus venir au lycée.

Haru n’y va plus parce qu’à chaque fois qu’il se retrouve au collège ou au lycée. Il se retrouve à se bagarrer. En fait on se rend compte que c’est toujours pour aider d’autre gens. Mais il se retrouve avec une réputation de violent et tout le monde a peur de lui.

Shizuku y va avec appréhension. Pas à cause de la réputation de Haru mais plus parce qu’elle ne veut pas. Haru est tellement étonné que quelqu’un vient du lycée lui apporter quelque chose. Il se retrouve à devenir de drôle d’amis. Et donc Haru décide de revenir au lycée. Shizuku va devoir apprendre à un peu s’ouvrir aux autres et aussi à apprendre à étudier avec les autres. Petit à petit le groupe s’agrandit.

Nous allons donc suivre Shizuku, Haru, un coq et au moins deux autres personnes, des voyous… J’aime beaucoup cet anime.

Je vous en conseille donc soit la lecture soit l’anime. ça devrait vous plaire.

Bonne lecture !

Banale à tout prix de Nagamu Nanaji

Banale à tout prix de Nagamu Nanaji chez Kana, 2018.

Résumé de l’éditeur :

Ayant pour exemples une mère trop romantique et une grande sœur trop coincée, Koiko a décidé d’être « normale », dans la moyenne, ni trop, ni trop peu. Son quotidien banal bascule lorsqu’elle découvre que son petit ami, très banal, est en train de la tromper !
C’est l’un des garçons les plus populaires du lycée, Tsurugi, qui lui ouvre les yeux
Depuis ce jour, Tsurugi ne cesse de se mêler à la vie de Koiko, lui faisant remarquer qu’elle n’est pas comme les autres et risque d’autant plus de casser son image de « normalité »… Mais Koiko n’a pas l’intention de se laisser troubler !

Mon avis :

Pour Koiko la banalité est source de bonheur. Sa mère bien trop passionnée passe d’une relation à l’autre avec à la fin un gros chagrin. Sa sœur ainé C’est tout le contraire. Elle est asexuelle et s’en porte très bien. Koiko a un petit ami banal avec qui elle entretient une relation banale. Elle pense être heureuse. Elle pense l’aimer mais sans fougue ça va de soit.

Jusqu’à ce qu’elle croise Tsurugi. Tsurugi est un beau jeune homme mais qui n’a jamais aimé une fille (ni un garçon). Tsurugi se rend compte que le petit ami banal de Koiko est en fait un coureur de jupon. Il appelle Koiko pour qu’elle se rende compte de la duplicité de son amoureux. D’abord elle lui pardonne. Elle remercie Tsurugi mais ne veut absolument pas de rapport avec Tsurugi qu’elle trouve bien trop exposé. En effet, il est loin d’être banal. Il attire les filles comme un aimant et est un bon élève.

Mais peu de temps après elle se rend compte qu’elle ne peut pas rester avec son petit ami. Pendant ce temps là Tsurugi se fait embaucher par la mère de Koiko dans son restaurant qu’elle tien toute seule.

Koiko petit à petit se rend compte qu’elle pense avoir des sentiments pour Tsurugi et que c’est réciproque. Ils vont devoir apprendre à se connaître. Koiko va devoir se faire à l’idée d’être moins banale en côtoyant Tsurugi et que ce n’est pas forcément source de bonheur. Tsurugi lui va devoir apprivoiser Koiko et faire profil bas pour rester avec Koiko.

Pour un Shōjo, il est sympa. Koiko est un personnage amusant qui a du mal à montrer ses sentiments et être elle même. Tsurugi n’a jamais eu conscience de son statut. Il va devoir comprendre son sentiment qui monte en lui.

Je vous en conseille donc la lecture.