Prise de vue : regards sur l’illustration italienne contemporaine avec de belles illustrations.

Bonjour chers lecteurs,

Aujourd’hui, je voulais vous faire partager une visite à l’Institut Culturel Italien (50 rue de Varenne à Paris), à l’occasion d’une exposition sur l’illustration italienne contemporaine.

Illustration de Beatrice Cerocchi
Illustration de Beatrice Cerocchi

Vous pouvez vous y rendre jusqu’au 6 juin du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 15h à 18h et en soirée lorsqu’il y a des animations.

Je vous la recommande chaudement; elle permet d’avoir un panorama de l’illustration italienne à travers plusieurs auteurs.

Ce que je déplore dans les albums, c’est qu’il n’y est jamais fait mention de comment sont faites les illustrations. C’est donc tout naturellement que j’ai aimé que l’exposition mentionne des techniques d’illustrations.

Nous retrouvons donc Monica Hernandez avec des illustration de L’amirail Virgilio. C’est l’histoire d’un chien qui s’échappe et tout se que ça entraîne. Il y a aussi Maria Gabriella Gasparri et Manuela Mapelli avec le Petit dictionnaire du monde fantastique. ( si mes notes sont bonnes).

J’ai beaucoup aimé les illustrations de L’arbre de Caterina Gabelli et Sara Maragotta. Ça montre tout l’arbre de la graine au tronc. Vie de capybera de Michela Fabbri avec de belles illustrations. J’ai aussi aimé Sans couleur de Monia Antonelli.

Urban wildlife de Davide Bonazzi est amusant avec des objets du quotidien qui se transforment en animaux. Le toit devient une carapace de tortue, une grande roue, un paon, une girafe un feu rouge et une route un crocodile.

Illustration de Davide Bonazzi

Beatrice Cerocchi nous permet de voyager dans les rues italiennes grâce à ses illustrations de vie urbaine, comme celle au début cet article.

Sont représentés également Les aventures de Daireo de Laura Menis. J’ai aimé aussi cette petite dame qui se promène partout avec sa poule dans La bonne poule de Daniela Pareschi; un robot qui cherche son père avec C’est toi mon papa ? de Giordano Poloni; Loris de Simone Rea qui représente un petit singe qui a de grands yeux.

Mario Sandreschi, lui, nous fait une petite rétrospective des grands explorateurs de Vasco de Gama à Neil Armstrong, avec Moments fatals.

Je vous invite donc si vous êtes sur Paris à aller voir cette exposition petite mais intéressante. Voici le site de l’institut.

Bonne visite !