Le Murder Club du jeudi

Première de couverture du livre

Le Murder club du jeudi de Richard Osman chez les éditions du Masque, 2021.

Résumé du livre :

Elizabeth, Joyce, Ibrahim et Ron frisent peut-être les quatre-vingts ans, mais ils en ont encore sous le capot. Leur passe-temps favori :
s’atteler, tous les jeudis, à de vieilles affaires de meurtre, pour en découvrir le fin mot là où la police a échoué. Jusqu’à ce que la nouvelle
leur parvienne : Tony Curran, l’associé du directeur de leur village de retraite, vient d’être retrouvé assassiné dans sa cuisine.
Ni une ni deux, Elizabeth convoque ses trois acolytes et lance le Murder Club sur la piste du tueur, toutes cannes dehors. Quand il s’agit de tromper l’ennui et de doubler la police, il ne faut jamais sous-estimer les personnes âgées.


Succès absolu au Royaume-Uni, Le Murder Club du jeudi nous entraîne, entre rires et larmes, sur le chemin tortueux des émotions  humaines. Car, derrière le meurtre, ce sont les liens tissés au crépuscule d’une vie que Richard Osman dépeint avec brio.

Mon avis :

C’est un cosy crime très réjouissant. Il me faisait de l’œil dans le rayon cosy mystery de la librairie de mon quartier. Je n’ai pas été déçu quand je l’ai enfin acheté et lu bien sûr. Nous suivons Elizabeth, Joyce, Ibrahim et Ron des octogénaires ou pas loin qui vivent pense t’on leurs vieux jours dans une maison de retraite. C’est vrai Joyce pleure encore la mort de son mari. Elizabeth a peur que la maladie dégénérative de son mari soit découvert et lui soit enlever pour l’enfermer dans l’unité prévu à cet effet. Ces quatre personnes ont un passé qui les aidera à résoudre des cold case. Sauf qu’un jour un crime se présente à eux. Un des entrepreneurs qui ont fait leur maison de retraite est assassiné chez lui. Nos quatre amis se lancent avec plaisir dans l’affaire. Elizabeth a bien des relations qui vont l’aider et même la fille de Joyce va les aider.

En tout cas là nous sommes dans un vrai cosy mystery qui devrai vous plaire si vous aimez le genre. On est dans notre société actuelle mais avec des enquêteurs dont ce n’est pas leur métier. Même si pour Elizabet c’est pas si clair.

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