Femmes de la Préhistoire

Femmes de La Préhistoire de Claudine Cohen

Femmes de la Préhistoire de Claudine Cohen chez les Éditions de la Tallandier, 2019. (Texto)

Résumé de l’éditeur :

Que savons-nous des transformations de leur corps ? Quels rôles avaient-elles dans la famille ? Quels étaient leurs tâches quotidiennes, leurs réalisations techniques et leurs talents artistiques ? De quels pouvoirs disposaient-elles ?

De nouvelles découvertes et de nouveaux questionnements rendent enfin visibles ces femmes qui vécurent aux temps lointains de la Préhistoire, de l’aube du Paléolithique jusqu’aux confins de l’âge du fer.

En éclairant sous un angle neuf la vie matérielle, familiale, sociale, religieuse des mondes de la Préhistoire, Claudine Cohen ancre la réflexion actuelle sur la différence des sexes et le statut social des femmes jusque dans la profondeur des millénaires.

Mon avis :

D’abord l’éditeur a réédité le livre en 2021.

Dans Femmes de la Préhistoire, on aborde d’abord le dimorphisme sexuel, les sépultures et les fictions qui aborde la vision de la femme dans la Préhistoire.

Après on montre la représentation féminine à travers notamment les statuettes qui représentaient la femme dans la Préhistoire.

Ensuite on s’attache à la reproduction, à la famille et même la fonction de la grand-mère entre autre.

Par la suite, l’autrice aborde les travaux des femmes qui loin des clichés de la femme inactive serait une femme aussi source d’apport de nourriture. Au début loin de l’image du chasseur viril, on était plutôt des charognards et que donc l’activité pouvait être plus mixte et équitable et que même après la sédentarisation les femmes étaient aussi source d’apport de nourriture.

La notion de la femme au foyer ne peut être commencé quand à la nourriture est devenue abondante avec la sédentarisation, l’agriculture pour justement faire pas mal d’enfants qui puissent protéger les terres, les richesses et aussi se marier entre soit.

On parle aussi du dimorphisme, de la divinité…

L’affaire des poisons : Crime, sorcellerie et scandale sous le règne de Louis XIV

L’affaire des poisons : crimes, sorcellerie et scandale sous le règne de Louis XIV de Claude Quétel au éditions Tallandier, 2021.

Résumé de l’éditeur :

Paris, 1678. La Cour est sous le choc : messes noires, expériences alchimiques, fausse monnaie, morts mystérieuses… Au premier rang des suspects : Mme de Montespan, la favorite de Louis XIV! éclate alors le plus grand scandale du règne du Roi-Soleil. Le 17 juillet 1676, la marquise de Brinvilliers a la tête tranchée en place de grève. Son crime : avoir empoisonné son père, sa sœur et ses deux frères ! Quand le lieutenant-général de police La Reynie se plonge dans le dossier, il est stupéfait. Des sorcières aux empoisonneuses, des alchimistes aux grands seigneurs, les ramifications de l’affaire sont immenses ! La machine judiciaire se met en marche : torture, aveux, dénonciations, exécutions… Et bientôt, c’est l’entourage de Louis XIV lui-même qui est compromis ! à travers les archives de la police, les récits des contemporains et les procès-verbaux des interrogatoires, Claude Quétel nous entraîne au cœur de l’une des énigmes criminelles les plus troubles de l’Histoire.

Mon avis :

Si vous vous intéressez à l’Histoire et aux Faits-divers ce livre est fait pour vous. Il retrace l’affaire des poisons sous le règne de Louis XIV où des femmes souvent sans beaucoup de moyens de subsistances se sont mises à faire de la cartomancie, les lignes de la main Au début les clients ont été des gens comme eux et puis le cercle des clients s’est élargies. Mais à cela aussi s’est élargies leur champ de pratique. Avec l’aide de prêtres elles ont organisés des messes occultes. Avec l’aide d’apothicaire elle ont préparées des potions d’amour mais aussi des poisons. Elle étaient aussi liés aux alchimistes. Sauf qu’au bout d’un moment tout ce petit négoce vient aux oreilles du monarque. Et ce monarque Louis XIV. N’entend pas qu’on bafoue l’autorité de Dieu et par là son autorité et ordonne qu’on arrête tout ce monde interlope. Mais ça ne s’arrête pas là et on arrête aussi les clients qui ont notamment aidés des proches soit des maris soit des parents à passer l’âme à gauche plus vite. On parle aussi d’avortement. Je rappelle qu’à l’époque c’était interdit. De toute façon vu les compétences des médecins qui faisaient que saignées sur saignées ils risquaient plus de faire mourir les femmes que d’enlever le fœtus non désirés. On se demande comment Louis XIV a pu vivre si vieux. Bref, On y apprend qu’on pouvait être emprisonner à vie dans des conditions très très dures. Que la plupart des prisonniers soient mourrés soit devenais fous.

Bref vous aurez un aperçu d’une affaire qui a fait grand bruit à l’époque et qui a été très loin ou on peut dire très prêt du pouvoir.

Je vous souhaite un bonne lecture.

Mémoires d’un juge trop indépendant

Mémoires d’un juge trop indépendant de Renaud Van Ruymbeke avec Jean-Marie Pontaut chez Tallandier, 2021.

Résumé de l’éditeur :

Boulin, Urba, Elf, les frégates de Taïwan, Clearstream, Kerviel, Cahuzac, Karachi, Balkany… Le juge Van Ruymbeke a instruit pendant plus de quarante ans les grandes affaires financières qui ont secoué notre République. Tenace et libre, il est la figure emblématique de la lutte anticorruption.

Dans ces mémoires vibrantes, animé par sa si chère indépendance, il raconte la manière dont il s’est attaqué aux sphères du pouvoir et au financement illégal des partis politiques. Engagé dans la lutte contre les paradis fiscaux, Renaud Van Ruymbeke fait des propositions pour traquer l’argent sale et réformer durablement la justice française. Voici le parcours d’un homme déterminé à se battre pour une justice égale pour tous.

« J’ai pu mesurer l’ampleur de la soumission de la justice, qui s’est exprimée dans l’action – ou l’inaction – des procureurs. J’ai dû franchir des obstacles et subir des blocages. J’ai tenté de m’affranchir de ces entraves, pour mettre au jour une vérité dissimulée, occultée, censurée. C’est à la fois en tant qu’acteur et témoin que j’ai décidé de raconter cette histoire. »

Mon avis :

C’est bien simple j’ai adoré suivre les grandes affaires de ce juge où se mêlent souvent politique et gros sous. Ce n’est pas toujours pour que les politiques s’enrichissent mais plutôt que les partis politiques financent leurs fonctionnement ou pour donner des pots de vins pour réussir aider de grandes entreprises à avoir des grosses commandes.

Mais bien sûr tout ça est illégale. Il a fallu que des juges comme celui-ci pour enquêter et savoir s’affranchir des pressions pour bosser et pour porter ces affaires devant la justice.

C’est très intéressant on le voit dans différentes affaires comme politiques bien sûr mais aussi criminelles, financiers…

Il y a que la fin que j’ai pas trop aimé parce qu’il est à la fin un peu moralisateur. Mais sinon ce qu’il dit de son job est captivant et on apprend plein de chose. Ça donne envie de lire d’autre livres sur le sujet à commanecer par les livres qui sont cités dans celui-ci.

Si vous voulez en savoir plus sur le fonctionnement de la justice mais auusi le manque de moyen et parfois les bâton dans les roues par certains grade des sceaux ou des personnes haut placés de la justice pilotés par la politique ça fait parfois peur. Bref lisez ce livre qui vous apprendra pleins de chose et ouvrira peut-être les yeux sur des affaires qui au premier abord avait l’air entaché mais qui sont plus complexe qui n’y paraissent.

L’affaire de leur vie de Jean-Marie Pontaut

L’affaire de leur vie : confessions des grands flics de la PJ de Jean-Marie Pontaut chez Tallandier

Résumé de l’éditeur :

Chaque policier porte au fond de lui une histoire secrète. Une enquête jamais élucidée des scènes qui l’ont touché, des souffrances qui l’ont marqué. Pour la première fois, 22 patrons de la PJ racontent « l’Affaire » de leur vie, celle qui leur reste sur le cœur.

Flirtant constamment avec la violence et les drames, ces hommes et ces femmes de la police judiciaire disent leur émotion, leur colère ou leur regret face à l’affaire qui les hante encore souvent, qu’elle soit criminelle, politique, liée au grand banditisme ou au terrorisme : enquête glaçante pour démasquer un notable prédateur d’enfants, récit haletant de l’assaut de l’appartement de Mohammed Merah, rage de devoir laisser un serial-killer en liberté, multiples rebondissements autour de la disparition de la petite Estelle Mouzin ou encore témoignage émouvant sur la découverte du corps de Robert Boulin.

Dans un style alerte, Jean-Marie Pontaut nous fait entendre la voix de ces grands flics habités par leur mission. De Belleville à Nice en passant par Toulouse, Marseille ou le Bataclan, leurs récits captivants nous font ressentir et comprendre la réalité de ce métier exceptionnel.

Mon avis :

Alors moi fan de faits divers je suis toujours intéressé par ce genre de livres. Attention ce n’est pas une passion morbide et je n’ai aucune compassion pour l’auteur de crimes, agressions…

Mais voilà depuis toute petite je dévore les pages de faits divers dans les journaux. Alors quand je me rend dans une librairie j’ai deux endroits où je me rend systématiquement c’est le rayon roman jeunesse et celui des faits divers. Même si j’aime aussi les mangas et les romans de fantasy. Bref quand je l’ai vu j’ai su que ce livre était pour moi.

On entend des grands noms de la police qui sont parfois très connus comme Robert Broussard ou Claude Cancès et d’autres qui racontent les affaires qui les ont bouleversés ou qui les ont touchés.

Comme dit l’auteur qui a retranscrit les paroles de ces grands flics, ils ont trouvé les mots justes pour nous parler de ces affaires parfois jamais élucidés.

On y voit une affaire d’état, des meurtres jamais condamnés mais avec de fortes présomptions, le gang des postiches, l’attaque au Bataclan…

C’est très intéressant et on comprend qu’il ne faut jamais rentré dans la délinquance sinon vous allez vous retrouvez en prison et foutre votre vie ne l’air.

Bonne lecture !