Le club des tricoteuses du vendredi soir

Le club des tricoteuses du vendredi soir de Kate Jacobs chez city éditions, 2010.

Résumé de l’éditeur :

Elles sont sept. Sept femmes de 18 à 78 ans vivant à New York. Le vendredi soir, elles se retrouvent pour tricoter… et parler de leurs vies. Elles dévoilent leurs joies et leurs difficultés d’être tout à la fois femmes, mères, amantes, filles et amies.
Les destins croisés de femmes ordinaires : un roman émouvant comme la vie.

Mon avis :

7 femmes certes mais on va surtout en suivre 6. Celle qui veut se remarier mais pour ça elle veut retrouver sa sœur. Une autre qui multiple les conquêtes quitte à se perdre elle-même. Une autre qui a perdu sa mère et qui doit composer avec un père qu’elle connait peu. Une autre qui doit partir en Italie tourner un clip mais qui ne sait pas quoi faire de sa fille et qui voit en même temps sa mère vieillir et qui se fait culpabiliser par son frère. Une qui vient d’accoucher de jumeaux après des années d’infertilité et qui doute beaucoup en elle-même et en la nature humaine. Peri qui doit faire tourner une boutique d’une amie disparue trop tôt d’un cancer. Et nous avons KC la juriste ancienne éditrice. Toutes ces femmes sauf KC cherche quelque chose. L’une à se trouver, l’autre à trouver sa sœur, une qui rentre dans l’âge adulte et qui doit commencer à s’affirmer, celle qui doit tourner son clip tout en devant devancer les demandes extravagantes de l’artiste. Peri qui voudrait bien aussi faire comme elle veut dans la boutique mais tout changement irrite les autres. Tout ce petit monde s’est rencontré dans la boutique et se rejoint une fois par semaine pour normalement tricoter. Mais en fait de tricot c’est de l’amitié qu’elles ont trouvé.

Donc si vous voulez une belle histoire qui se déroule à la fois à New York et à Rome avec en plus des vignes dans la campagne italienne ce livre est pour vous.

C’est toujours un livre feel good. Je suis encore en plein dedans.

Bonne lecture !

Le bonheur dépend parfois d’un flocon

Le bonheur dépend parfois d’un flocon de Colleen Wrigt aux éditions Prisma, 2019.

Résumé de l’éditeur :

À l’approche des Fêtes, Iris décore sa petite auberge perdue dans la campagne pour accueillir quelques habitués, restés fidèles au fil des ans malgré les difficultés financières de l’établissement. C’est alors qu’une tempête de neige inattendue précipite chez elle tout un petit monde. Il y a là Molly, qui écrit des livres pour enfants, en pleine panne d’inspiration.
Marcus, le jeune veuf séduisant a bien du mal à gérer ses deux petites filles. Hannah, qui venait pour se marier dans ce cadre pittoresque, est surprise de retrouver Luke, son ami d’enfance, qui n’est autre que le petit-flls d’Iris…

Les histoires s’entrecroisent et alors que tout semblait mal parti, cette tempête de flocons va les réunir et qui sait ? Changer le cours de leur vie à jamais…

Mon avis :

Attention livre feel good pour Noël. Vous voulez un livre sur Noël ? Ce livre est pour vous. Vous voulez un livre qui vous fait du bien ? Ce livre est pour vous. Nous allons rencontrer une autrice jeunesse en mal d’inspiration, une future mariée qui va se faire larguer juste quelques jours avant le mariage. Les parents désemparés par le malheur de leurs filles. Une témoin qui a son mari bloqué à l’aéroport par la neige. Et à cause des routes bloqués un père avec ses deux filles pleines de vie, un vieil homme pas très sympa mais très observateur. Tout ce petit monde se retrouve dans une charmante auberge malheureusement au bord de la faillite à cause d’un grand hôtel de luxe qui a ouvert dans le coin. C’est un couple qui tient cette auberge. Lui répare tout elle, elle cuisine divinement. En plus de ce petit monde nous avons aussi la vieille dame Iris qui a vendu l’établissement au couple pour seule condition qu’elle puisse venir à sa guise et aide. Iris a un petit fils déjà adulte qui se retrouve aussi bloqué par la neige. Tous ces gens vont se retrouvé bloqué mais dans une sorte de parenthèse enchanté. Le couple d’aubergiste qui n’a pas pu être approvisionné à cause de la neige va se retrouver à cher cher de la nourriture par des producteurs locaux en carriole. Tout ce petit monde a un souci sauf peut-être Iris et le viel homme dont on ne sait pas grand chose à part qu’il se lie d’amitié avec Iris et a l’air de beaucoup apprécié la cuisine de l’aubergiste. Après cette parenthèse où les petites filles vont devoir dormir avec l’autrice manque de place. Où le père ainsi que le petit fils d’Iris va dormir sur les canapés. Tous ce petit monde va se séparer mais pas sans à la fin régler tous leurs problèmes.

C’est un livre qui fait du bien pour noêl. Un bon livre a dévoré prêt d’un bon feu de cheminée avec une boisson chaude et la neige qui tombe en dehors.

Bonne lecture !

Ces petits riens qui nous animent…

Ces petits riens qui nous animent… de Claire Norton chez Robert Laffont, 2020.

Résumé de l’éditeur :

Ensemble, on est plus forts !

Ce matin-là, Aude est venue trouver refuge au parc des Buttes-Chaumont après avoir découvert l’infidélité de son mari.
Alexandre, lui, est contraint de faire un choix entre son grand amour et sa famille.
Quant à Nicolas, il s’inquiète des motifs qui ont poussé son frère à annuler le rendez-vous qu’ils avaient ensemble dans ce même parc.
Chacun plongé dans ses propres tourments, Aude, Alexandre et Nicolas débouchent en même temps sur le pont qui mène à l’île du Belvédère. Face à eux, une adolescente suspendue dans le vide menace de sauter. Portés par un même élan, sans réfléchir, ils se précipitent tous les trois pour la retenir.
Aucun d’eux n’imagine alors combien ce geste va profondément transformer leur vie.
Car ce sauvetage a un prix : celui de la promesse qui les lie désormais…
Une grande histoire d’amour et d’amitié comme on rêve tous d’en vivre.

Mon avis :

Je suis tombée par hasard sur ce livre en flânant dans les allées d’une bibliothèque. Le dos et le titre m’ont tout de suite attiré ce qui m’a poussé à l’emprunter. j’ai eu raison.

L’autrice Claire Norton nous conte le destin de 5 personnes qui n’auraient jamais dû se rencontrer et encore moins se lier d’amitié.

Nous avons Aude qui vient d’apprendre que son ancienne secrétaire entretient une liaison avec son mari depuis de long mois. Alexandre qui n’ose parler de son amour pour les hommes à ses parents. Ce qui lui vaut la séparation avec l’homme de sa vie Dimitri. Nicolas un homme bien propre sur lui mais totalement hypocondriaque. Charlène est une fille qui est dans l’année de son bac mais qui veut absolument retrouvé sa mère et son père Jérôme. Tout commence sur les Buttes Chaumont à Paris par une tentative de suicide de Charlène qui supporte très mal l’absence de mère. Son père ne la comprend pas dans sa quête de mère. Aude, Nicolas et Alexandre vont empêcher Charlène de se suicider. Même s’ils ne sont pas aidés par Jérôme ce qui ne va pas donner une bonne image de père. Charlène va donc demander de l’aide à ces trois personnes de l’aider à retrouver sa mère tout en étant empêcher par Jérôme. Aude n’ayant plus d’endroit pour vivre va aussi habiter chez Jérôme et Charlène.

Pour moi ce livre est un roman feel good. Ils donnent le sourire. Même si tous les personnages ont des problèmes ils vont tous s’aider et régler eurs problèmes et construire une amitié qui n’aurait du jamais arrivée.

Charlène n’a vraiment pas confiance en elle et en son pouvoir de séduction. Alexandre tiraillé entre son amour pour Dimitri et la vision que son père doit avoir d’un « homme ». Nicolas qui a l’air bien sous tout rapport mais l’est-il réellement ? Le ciment sera Charlène cette jeune femme qui sait ce qu’elle veut et qui s’en donne les moyens.

Ce livre vous donnera le sourire quand vous l’aurez fini.

Bonne lecture !

Avril enchanté d’Elizabeth Von Arnim

Avril enchanté d’Elizabeth Von Arnim chez 10/18, 2011. (Littérature étrangère)

Résumé de l’éditeur :

Deux jeunes Londoniennes, Mrs. Wilkins et Mrs. Arbuthnot, décident, un jour de pluie trop sale et d’autobus trop bondés, de répondre à une petite annonce du Times proposant un château à louer pour le mois d’avril sur la Riviera. En cachette de leurs maris, elles cassent leurs tirelires et trouvent deux autres partenaires pour partager les frais du séjour : l’aristocratique et très belle Lady Caroline Dester, qui veut fuir ses trop nombreux soupirants, et la vieille Mrs. Fisher, à la recherche d’un lieu paisible.

Mon avis :

En ce moment j’ai besoin de littérature feel-good. J’ai écumé les sites à la recherche de titre. Celui-ci était dans la liste de Babelio. Après avoir découvert le « hygge » danois. Je découvre le bonheur de femmes anglaises à prendre des vacances dans un château italien, rempli de fleurs, de beaux paysages et et avec le personnel fourni. Mrs Wilkins est une femme effacée empêtrée dans un mariage sans passion. Mrs. Arbuthnot qui à force de courir les bonnes œuvres en a perdu son mari en route. La très belle Lady Caroline Dester qui en a marre que tous les hommes jeunes comme vieux se jettent à ses pieds et en deviennent gâteux. Mrs. Fisher qui ne vit que sur son passé et ne supporte pas le monde actuelle.

Tout ce petit monde va se retrouver en Italie et petit à petit chacun leur tour vont y connaître un sentiment de paix qui va les gagner. Mrs. Wilkins sera la première atteinte. Il sera au paradis pour elle. tout n’est que félicité. Mrs. Arbuthnot va peu à peu apprendre à lâcher prise et à goûter pour elle des joies simples sans se sentit coupable. Lady Caroline va connaître un peu de paix à ne pas être courtisé par de nombreux prétendants qu’elle n’a que faire et se prendre d’amitié pour Mrs Wilkins. Et Mrs. Fisher va se remettre à trottiner. Alors que pour elle une vieille femme doit savoir se tenir.

C’est un livre qui se lit d’une traite. Vous y retrouverez les merveilleux paysage de l’Italie, la nourriture, et même des personnages italiens incarnaient par le personnel de maison. un livre qui vous donne envie de voyager mais aussi de réfléchir aussi à ce bonheur qu’on essaye toujours d’atteindre et qu’on y arrive pas à moins de justement lâcher prise.