Le cercle des derniers libraires de Sylvie Baron aux éditions J’ai lu,2020.
Résumé du livre :
À Saint-Flour, Emma est une jeune libraire dynamique, créatrice d’une association de défense de la librairie indépendante, le Cercle des derniers libraires.
Victime d’un accident de vélo, Adrien Darcy n’est pas près de se remettre en selle. Mais quand le rédacteur en chef de La Montagne lui propose de mener l’enquête sur de mystérieux meurtres commis sur des libraires, le jeune homme, d’abord réticent, accepte de relever le défi.
Premier indice : les trois victimes appartenaient au Cercle des derniers libraires. Qui se cache derrière cette association ? Qui lui en veut au point d’en supprimer ses membres ? C’est ce que Darcy compte bien découvrir !
Une déclaration d’amour aux livres et à ceux qui les font vivre : les libraires.
Mon avis :
Encore un livre que j’ai trouvé dans la partie cosy crime de ma librairie.
Bon alors un journaliste sportif se retrouve en convalescence après un important accident de vélo. Il était spécialisé dans le sport parce que lui même avait la tête dans le guidon. Il s’ennuie beaucoup pendant sa convalescence. N’y tenant plus il demande du boulot à son rédacteur en chef. Celui-ci loin d’abonder dans son sens lui propose d’enquêter sur une affaire de triple meurtre. Enfin pas sûr. Trois libraires ont été assassiné. Mais ont-ils un lien entre eux ? Adrien Darcy le nom du journaliste va devoir s’atteler à la tâche. Au début il fait grise mine. En plus n’étant pas un grand lecteur il ne comprend pas pourquoi tout le monde se gausse de son nom. Quand il apprend par la sœur de la dernière victime que tous les libraires faisaient partie du Cercle des derniers libraires il se rend dans la ville où se situe la librairie de la responsable du Cercle. Il décide après des réticences à enquêter avec elle. Ce livre m’a beaucoup plu. C’est un livre qui explique assez bien les difficultés d’être un libraire indépendant tout en développant une intrigue. Sans vous dévoiler la fin j’ai apprécié que les principaux protagonistes à la fin ne soit pas confronter au meurtrier. Et qu’ils ne doivent pas leur vie sauve de justesse. Là rien de tout ça. On ne doit la fin qu’à la sagacité du journaliste en assemblant tout ce qu’il a appris.
Pour résumer un bon policier qui va vous emmener dans les belles villes de France où la vie y est plus douce que les grandes villes, où tout le monde se connaît et se fait confiance. Un livre qui fait la part belle aux libraires indépendants. De plus dans l’intrigue nous apprenons les trois premiers meurtres dès le départ. Donc pas de violence.
Bonne lecture.